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Le 11 mars, grande journée de mobilisation nationale à Lyon

Un temps applaudis, et puis punis. C’est la douche froide pour les héros d’hier, ceux qui n’ont pas été gentils car ils ont refusé de jeter le consentement libre par la fenêtre.

Rappelons le, depuis le 15 septembre 2021 les réfractaires à l’injection covid sont punis par le gouvernement. Une histoire qui dure depuis maintenant bientôt 18 mois. Les blagues les plus courtes sont les meilleures, celle-ci est franchement indigeste. Depuis cette date funeste, il faut quand même remplir la marmite sans salaire et trouver d’autres solutions. La chose n’étant pas simple……

Alors le 11 mars, on s’organise. Un peu partout en France se mettent en place des covoiturages, des départs en trains ou en bus. L’objectif étant de se retrouver en nombre à Lyon et de montrer au gouvernement que nous sommes beaucoup plus nombreux que le nombre ridicule qu’il se plait à donner partout. Sans compter que tous les concernés ne pourront pas venir.

Soignants, gendarmes, pompiers, et autres individus mis au coin. Qui sommes nous ? Une épine dans le pied gouvernemental, une épine qui fait mal et qui devient de plus en plus agaçante.

Aujourd’hui le système de santé, pour ne parler que de lui est dans un état plus que pitoyable. On meurt aujourd’hui sur des brancards dans les couloirs des services d’urgence faute de soins.

Ironie du sort, le CHU de Metz-Thionville ayant eu les « honneurs » d’avoir eu en ses lieux l’actuel ministre de la santé François Braun est lui-même usé jusqu’à la corde.

Les soignants qui tiennent coûte que coûte pour faire survivre un système à bout, sont à bouts eux-mêmes, contraints de se mettre en maladie pour préserver leur santé mentale et physique, ou pire, finissent par tomber en dépression.

Mais un autre aspect peut-être non prévu est désormais bien réel, c’est la crise des vocations. Et oui, l’injection obligatoire entraîne une baisse des étudiants dans les filières concernés, ce qui est un drame pour un système de santé déjà plus que moribond.

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