Tous les personnels du secteur sanitaire qui ont refusé de se plier à l’injonction vaccinale sont désormais suspendus ou interdits d’exercer pour les libéraux.

Les blouses blanches libres demandent :

  • La fin de l’obligation vaccinale

Nous demandons la fin de l’obligation vaccinale et la prise en compte d’un concept un peu oublié aujourd’hui : le consentement libre et éclairé. C’est à dire de laisser le choix à tout un chacun de consentir ou pas à l’administration de ces piqûres s’il en a la volonté et de ne pas lier le refus de ces dernières à la perte de son travail et par la même, de son salaire. Rappelons ici que les injections des produits appelés vaccins causent de nombreux effets secondaires, et un nombre de décès très élevé.

  • La fin du pass vaccinal

Avant toute chose, il faut rappeler que le contrôle du pass sanitaire dans les hôpitaux coûte 60 millions d’euros par mois, tout cela pour payer des vigiles qui vous empêcheront de rentrer si vous n’avez pas le sésame. Cet argent n’aurait il pas été plus utile pour recruter des soignants et pour augmenter le nombre de lits ? Cet argent aurait permis de soigner l’hôpital malade depuis des années, au lieu de cela, nous payons des vigiles !

Le principe du pass sanitaire est simple. Au delà de représenter une contrainte pour les professionnels, Il vous interdit l’accès à plusieurs endroits y compris l’hôpital, si vous ne pouvez pas prouver votre négativité au covid. Par contre si vous avez « seulement » le choléra ou la tuberculose, votre pass sanitaire sera valide et vous pourrez accéder à tous les lieux. Depuis la dernière allocution d’Emmanuel Macron, les personnes de plus de 18 ans devront faire la troisième dose si elles veulent garder leur pass sanitaire. On le voit, le pass sanitaire est un instrument de discrimination au service d’un régime devenu tyrannique. Plusieurs personnalités dont Bruno Megarbane ont avoué que le pass sanitaire n’avait rien de sanitaire, sa seule raison d’exister est de tordre le bras des derniers réfractaires pour accepter l’injection. En début d’année 2020, quand il n’y avait ni masques, ni matériel de protection, l’État était bien content de disposer des soignants, aujourd’hui il a le luxe de pouvoir s’en passer, de les suspendre alors que les soignants en place sont épuisés, en burn out.